TAMARINE, gélule, boîte de 20
Retiré du marché le : 12/01/2011
Dernière révision : 01/01/1990
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : GLAXOSMITHKLINE SANTE GRAND PUBLIC
Source :
Traitement symptomatique de la constipation.
CONTRE-INDIQUE :
- Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...).
- Syndrome occlusif ou subocclusif.
- Syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée.
- Enfant de moins de 12 ans (voir mises en garde et précautions d'emploi).
DECONSEILLE :
- Allaitement : il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement, en raison de la possibilité de passage de principes anthracéniques dans le lait maternel.
- Association aux anti-arythmiques donnant des torsades de pointes (voir interactions) [anti-arythmiques (amiodarone, bépridil, brétylium, disopyramide, sotalol, quinidiniques) ; non anti-arythmiques (astémizole, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine)].
- Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...).
- Syndrome occlusif ou subocclusif.
- Syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée.
- Enfant de moins de 12 ans (voir mises en garde et précautions d'emploi).
DECONSEILLE :
- Allaitement : il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement, en raison de la possibilité de passage de principes anthracéniques dans le lait maternel.
- Association aux anti-arythmiques donnant des torsades de pointes (voir interactions) [anti-arythmiques (amiodarone, bépridil, brétylium, disopyramide, sotalol, quinidiniques) ; non anti-arythmiques (astémizole, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine)].
- Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons ;
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- La prescription d'un laxatif stimulant doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- Une utilisation prolongée est déconseillée.
La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
a) la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie ;
b) une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle.
- En cas de diarrhée ou de douleurs abdominales, arrêter le traitement.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons ;
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- La prescription d'un laxatif stimulant doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- Une utilisation prolongée est déconseillée.
La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
a) la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie ;
b) une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle.
- En cas de diarrhée ou de douleurs abdominales, arrêter le traitement.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
- Possibilité de diarrhées, de douleurs abdominales en particulier chez les sujets souffrant de côlon irritable.
- Possibilité d'hypokaliémie.
- Possibilité d'hypokaliémie.
Allaitement :
Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de principes anthracéniques dans le lait maternel.
Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de principes anthracéniques dans le lait maternel.
Risque d'hypokaliémie et donc d'interactions médicamenteuses en cas d'association d'un laxatif stimulant avec :
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Médicaments donnant des torsades de pointes :
- anti-arythmiques (amiodarone, bépridil, brétylium, disopyramide, sotalol, quinidiniques) ;
- non anti-arythmiques (astémizole, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine).
Torsades de pointes (l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant).
Utiliser un laxatif non stimulant.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques : l'hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
- Autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo, par voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés).
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et si besoin correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Médicaments donnant des torsades de pointes :
- anti-arythmiques (amiodarone, bépridil, brétylium, disopyramide, sotalol, quinidiniques) ;
- non anti-arythmiques (astémizole, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine).
Torsades de pointes (l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant).
Utiliser un laxatif non stimulant.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques : l'hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
- Autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo, par voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés).
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et si besoin correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
A prendre de préférence le soir après le dîner.
Le traitement doit être de courte durée (maximum 8 à 10 jours).
- Adulte : 1 à 2 gélules par jour.
- Enfant : demi-dose.
Le traitement doit être de courte durée (maximum 8 à 10 jours).
- Adulte : 1 à 2 gélules par jour.
- Enfant : demi-dose.
Durée de conservation :
4 ans.
4 ans.
Sans objet.
- Symptômes :
Diarrhée.
- Conduite à tenir :
Correction d'éventuels troubles hydro-électrolytiques en cas de perte liquidienne très importante.
Diarrhée.
- Conduite à tenir :
Correction d'éventuels troubles hydro-électrolytiques en cas de perte liquidienne très importante.
LAXATIF STIMULANT.
Il modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique. Le séné est un principe anthracénique.
Délai d'action : environ 10 heures.
Il modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique. Le séné est un principe anthracénique.
Délai d'action : environ 10 heures.
Les glucosides anthracéniques agissent sur le côlon après hydrolyse bactérienne.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Gélule transparente vert foncé et vert clair.
20 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).